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1.
Atmosphere ; 12(5), 2021.
Article in English | Scopus | ID: covidwho-1229237

ABSTRACT

There is a need for accurate monitoring of PM2.5 that adversely affects human health. Consequently, in addition to the monitoring performed by fixed microbalance instruments installed under legal obligation, we are proposing to deploy the Pollutrack network of mobile sensors within the city of Paris (France). The measurements are performed by mobile aerosol counters mounted on the roof of cars, providing a constant series of readings in the 0.3–10 µm size range that are then aggregated to identify areas of mass concentrations of pollution. The performance of the Pollutrack sensors has been established in ambient air in comparison with the microbalance measurement devices and with the Light Optical Aerosols Counter (LOAC) aerosol counter. A measurement uncertainty of about 5 µg. m−3 is obtained with absolute values from the Pollutrack measurements made at a given location. Instead of the current modelizations based on very few PM2.5 values, maps built from real measurements with a spatial resolution down to 100 m can now be produced each day for Paris, and potentially for specific times of the day, thanks to the high number of measurements achievable with the Pollutrack system (over 70,000 on weekdays). Interestingly, the global trend of PM2.5 content shows several significant pollution events in 2020 despite the COVID-19 crisis and the lockdown. The Pollutrack pollution maps recorded during different PM2.5 pollution conditions in the city frequently identified a strong spatial heterogeneity where the North and the East of Paris were more polluted than the west. These “hot spots” could be due to the city topology and its sensitivity to wind direction and intensity. These high-resolution maps will be crucial in creating evidence for the relevant authorities to respond appropriately to local sources of pollution and to improve the understanding of transportation of urban PM. © 2021 by the authors. Licensee MDPI, Basel, Switzerland.

2.
Journal of Clinical Virology ; 128:4, 2020.
Article in English | Web of Science | ID: covidwho-1126033
3.
Revue du Rhumatisme ; 87:A282-A283, 2020.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-947411

ABSTRACT

Introduction En 2020, la France connaît avec la COVID-19 une épidémie sans précédent. Dès le 5 mars, la SFR publie des recommandations pour les professionnels et les patients souffrant de rhumatisme inflammatoire chronique (RIC) stipulant, entre autres, qu’en l’absence de signe d’infection COVID-19, il faut poursuivre le traitement du RIC. Ces recommandations, affinées le 17, puis le 22 mars ont été relayées par les associations de patients. Les patients ont-ils eu connaissance et suivi ces recommandations ? Comment leur RIC a évolué durant cette période ? Patients et méthodes Six rhumatologues de l’ouest parisien ont inclus leurs patients avec RIC, polyarthrite rhumatoïde (PR), spondylarthrite (SA), rhumatisme psoriasique (RPso) qu’ils suivaient avant l’épidémie et qu’ils ont revus ou recontactés après le pic de l’épidémie, entre le 20 avril et le 30 juin. Le patient remplissait un autoquestionnaire et le rhumatologue une fiche avec comorbidités, traitements, évaluation de la maladie par rapport à avant l’épidémie. Résultats Au total, 207 patients (135 femmes, 65,2 %), d’âge moyen 54,6±14 ans, dont 112 (54,1 %) professionnellement actifs ont été inclus, 61,8 % avec PR, 23,7 % SA, 14,5 % RPso. Quarante-sept (23,0 %) avaient plus de 65 ans, 95 (45,9 %) un IMC>25kg/m2, 117 (56,5 %) au moins une comorbidité (HTA, diabète, surpoids…). Cent vingt-neuf (62,9 %) avaient au moins un facteur de risque de forme grave de COVID-19 (âge>65 ans, HTA, diabète, IMC>25). Trente-neuf (18,8 %) avaient une corticothérapie, 63 (30,4 %) prenaient des AINS régulièrement, 144 (69,6 %) un traitement de fond (MTX dans 91,0 % des cas), 96 (46,4 %) une thérapie ciblée (anti-TNF et anti-Il6 dans 66,3 % et 15,8 % des cas). Cent quatre-vingt-cinq (89,8 %) sont restés confinés chez eux (télétravail, retraite, arrêt). Neuf (4,3 %) ont été atteints par le COVID-19, dont 2 avec hospitalisation (aucun décès). Soixante-quinze (36,2 %) ont été informés des recommandations de la SFR. Trente-quatre (16,4 %) ont arrêté tout ou partie de leur traitement, l’arrêt concernant les AINS dans 55,9 % des cas. Dans 71,9 % des cas, l’arrêt était à l’initiative du patient. Davantage de patients ont arrêté un traitement parmi ceux qui ont eu connaissance des recommandations (25,3 %), que parmi les autres (11,4 %, p=0,009). Le RIC était considéré par le rhumatologue stable chez 67,0 % des patients, moins actif chez 17,5 %, plus actif chez 15,5 %. Quarante-quatre (21,3 %) ont ressenti davantage de douleur, 57 (27,7 %) davantage de fatigue, ces taux étant plus élevés (44,1 % pour la douleur et 61,8 % pour la fatigue) chez les 34 ayant interrompu une partie du traitement (p<0,001). Parmi les 44 qui ont eu davantage de douleur, 16 (36,4 %) avaient une maladie stable voire moins active. Parmi les 57 qui ont eu davantage de fatigue, 33 (57,9 %) avaient une maladie stable voire moins active. Conclusion Sur 207 patients, seuls 75 (36,2 %) ont eu connaissance des recommandations. Paradoxalement, plus de patients ont arrêté un traitement parmi ceux qui en ont eu connaissance. Un quart de l’ensemble des patients et la moitié de ceux ayant arrêté une partie du traitement ont eu davantage de douleur ou de fatigue. Pourtant 84,5 % des patients avaient une maladie stable voire moins active qu’avant. Ce travail souligne la difficulté de faire passer des messages clairs et les conséquences indirectes en termes de douleur et de fatigue de cette épidémie, chez ces patients dont 62,9 % avaient au moins, indépendamment du RIC, un facteur de risque de forme grave.

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